Au cours de ses études, il voyage au Canada et en Alaska, où il a travaillé comme bûcheron[2]. Il travaille alors qu’il est encore étudiant comme pigiste pour les magazines Stern et Geo[1].
De 1979 à 1989, il travaille pour le magazine Geo[1].
Hans-Jürgen Burkard qui boîte depuis qu’il est tombé d’un char à Grozny au cours de la seconde guerre de Tchétchénie[3], a aussi photographié les plantations de bananes du Costa Rica, polluées par les pesticides, les dortoirs des enfants des rues de Moscou, les bidonvilles du Brésil, et la famine au Soudan du Sud. Il collabore aussi avec Médecins sans frontières[3].
(de) Hans-Jurgen Burkard, Stern portfolio Nr 3, Teneues Gb, coll. « Stern fotografie », , 94 p. (ISBN9783570122952)
(de) Reiner Jung, Thomas Roessler, Unterwegs im Auftrag des Stern. Arbeiten des Fotojournalisten Hans-Jürgen Burkard, Historischen Museum Saar, , 48 p. (ISBN978-3-9818501-0-9)
(de) Hans-Jürgen Burkard, Peter-Matthias Gaede, Silke Mülle, An Tagen wie Diesen, Edition Lammerhuber, , 224 p. (ISBN978-3903101395)[8],[9]
Expositions
Liste non exhaustive
2016 : Unterwegs im Auftrag des Stern. Arbeiten des Fotojournalisten Hans-Jürgen Burkard, Historischen Museum Saar, Sarrebruck[10]