Une partie des Français a vécu la perte de l'Algérie comme une amputation. Et les Algériens reprochent à la France de l'avoir privée de son identité par la colonisation.
Montage
Les deux parties du film (1954-1958 et 1958-1962) ont nécessité une année de travail sur 140 heures de rushes. La mise en récit s'est appuyée sur une quinzaine de cinémathèques, d'images inédites de l'armée française, de la télévision algérienne, de télévisions étrangères, d'Europe de l'Est notamment, mais aussi d'archives familiales et intimes de soldats, toutes restaurées et colorisées.