La Turquie intervient également, en profitant du conflit pour tenter de chasser les éléments du PKK présents dans les monts Qandil[12]. Lors de l'opération Marteau(en) de , elle s'allie ainsi au PDK pour affronter le PKK, allié de fait à l'UPK.
À partir de la fin de l'année 1996, la situation commence à se stabiliser et le , le PDK décrète un cessez-le-feu unilatéral que l'UPK consent par la suite à respecter[1]. Le , les deux parties parviennent à un accord signé sous l'égide des États-Unis[13],[14],[15].
↑ a et b(en) Michael G. Lortz, Willing to Face Death : A History of Kurdish Military Forces — the Peshmerga — from the Ottoman Empire to Present-Day Iraq, Florida State University Libraries, , 99 p. (lire en ligne [PDF]), p. 63.
↑(en) Michael M. Gunter, « Turkey and Iran Face off in Kurdistan », Middle East Quarterly, Forum du Moyen-Orient, vol. 5, no 1, , p. 33-40 (lire en ligne).
↑(en) « “Unsafe Haven” : Iranian Kurdish Refugees in Iraqi Kurdistan », Iranian Refugees at Risk, New York, Iranian Refugees' Alliance, no 97, (lire en ligne).
↑(en) Nicola Degli Esposti, Nation and Class in the History of the Kurdish Movement, Cham, Palgrave Macmillan, coll. « Middle East today », , 259 p. (ISBN978-3-031-10247-9, e-ISSN2945-7025, lire en ligne), chap. 4 (« The Class Structure of Kurdish Self-Rule in Iraq (1991–2014) »), p. 85.