Gonzalve Desaulniers naît le à Saint-Guillaume d'Upton. Il fréquente le collège du Sacré-Cœur, à Sorel, puis le Collège Sainte-Marie de Montréal. Il est admis au barreau en 1895. Entre-temps, Desaulniers gagne principalement sa vie grâce à l’écriture et la politique. Il est journaliste à l’L'Étendard du sénateur François-Xavier-Anselme Trudel, puis au National, hebdomadaire de Montréal, au Canada-Revue d’Aristide Filiatreault, porte-parole des libéraux radicaux de Montréal, à la Revue des deux Frances. Il publie ses premiers poèmes dans la Revue canadienne, le Journal de Françoise[note 1], Le Passe-temps, la Revue populaire et la Revue moderne[1].
Louis Dantin, « Gonzalve Desaulniers. Les bois qui chantent », Essais critiques, Presses de l’Université de Montréal, 2002
Élie-J. Auclair, « l’Honorable Juge Desaulniers », Mémoires et comptes rendus de la Société Royale du Canada, 3e série, vol. 28, 1934 lire sur Google Livres