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Georges Arthur, baron Schnek, né à Varsovie le et décédé à Ixelles le , est un professeur belge et une figure centrale de la vie communautaire juive en Belgique[1].
Réfugié en zone libre pendant la Seconde Guerre mondiale, il s'engage dans l'Armée juive, qui deviendra l'Organisation juive de combat, à Grenoble. De retour à Bruxelles, il devient l'un des fondateurs du Comité de l'Union des Étudiants Juifs de Belgique et du Comité Européen de l'Union Mondiale des Étudiants Juifs.
Biographie
Docteur en chimie de l'Université Paris-Sorbonne (1951), il est professeur de chimie à l’Université libre de Bruxelles. En parallèle à sa carrière académique, il s'engage dans de nombreuses organisations juives. De 1981 à 2012, il est président du Consistoire central israélite de Belgique. Il participe à la création notamment du Musée Juif de Belgique, dont il est le président de 1984 à 2011, de l' Institut d'Études du Judaïsme, de l' Institut de la Mémoire audiovisuelle juive, du Musée juif de la Déportation et de la Résistance et de la Fondation de la Mémoire Contemporaine[2].
Une éthique de la fraternité. Georges Schnek se raconte... (textes édités par Sophie Milquet, Catherine Massange et Barbara Dickschen), Bruxelles, Fondation de la Mémoire contemporaine, 2018, 160 p.
↑Une éthique de la Fraternité. Georges Schnek se raconte..., textes édités par Sophie Milquet, Catherine Massange et Barbara Dickschen, Fondation de la Mémoire contemporaine, 2018.