« A fait preuve d'énergie et d'initiative et de brillantes qualités manouvrières au cours des opérations dans le Hale (Côte d'ivoire) et en particulier dans l'attaque du village de Dampleu. »
« Officier d'une énergie et d'un sang froid exceptionnel n'a pas hésité pour exalter le courage de ses hommes avant un assaut de monter sur le parapet de la tranchée pour haranguer sa troupe.
Le blessé grièvement et dans l'impossibilité de marcher a néanmoins conservé le commandement de sa compagnie pendant deux jours dans un élément de tranchée où le ravitaillement était rendu impossible par le feu des mitrailleuses et par un bombardement continu.
Déjà blessé et trois fois cité au cours de la campagne. »
— Journal officiel du .
Fin , le capitaine Aymé est transféré au Tchad (AEF).
Il est de retour en métropole le .
« Commandant la 10e division, officier général jeune, actif et ardent.
Ayant reçu l'ordre de tenir sans esprit de recul sur l'Aisne, a résisté le aux violent assauts de l'ennemi, obtenant de ses troupes qu'elles se sacrifient pour remplir leur mission.
A réussi à conserver dans nos lignes quelques éléments qui avaient échappé à l'étreinte ennemie. »
↑« Verdun », dans Historique du régiment d'infanterie coloniale du Maroc (1914-1930) : 1er régiment de France, 88 p. (BNFbpt6k64524209, lire en ligne), p. 23.
↑Acte de mariage no 1308/1931 de la commune de Paris (17e arr.).
↑Georges Gautier, La fin de l'Indochine française : 9 mars 1945, Hanoï au soleil de sang, Paris, Société de production littéraire, (lire en ligne), p. 89
↑Georges Gautier, La fin de l'Indochine française : 9 mars 1945, Hanoï au soleil de sang, Paris, Société de production littéraire, (lire en ligne), p. 145
↑Henry Coston, L'Ordre de la Francisque et la Révolution nationale, Paris, Déterna, coll. « Documents pour l'histoire », , 9-183 p. (ISBN2913044476), « Les décorés de la Francisque »