Le , le palais princier annonce qu’à leur naissance, indépendamment de leur sexe, chacun des jumeaux à naître aura le droit à une salve de 21 coups de canon. De plus, une journée sera décrétée fériée pour marquer l’événement[2]. Selon un communiqué officiel du palais, la date du a été retenue pour présenter les enfants au peuple monégasque[3].
Selon les explications de la princesse Charlène, elle porte les prénoms de Gabriella en l'honneur de Gabrielle de Polignac, suivie d'un « a » latin en référence à l'Italie voisine et amie, et de Thérèse en hommage à Thérèse de Polignac (1916-2014), décédée peu avant la naissance de Gabriella, cousine du prince Rainier III[6], et fille d'Henri de Polignac (1878-1915).
Baptême
Gabriella et son frère sont baptisés le 10 mai 2015 à la cathédrale Notre-Dame-Immaculée de Monaco, par MgrBernard Barsi. Le parrain de la princesse est Gareth Wittstock, le frère de Charlène de Monaco. Sa marraine est Nerine Pienaar, épouse du rugbyman sud-africain Francois Pienaar, amie de longue date de la princesse Charlène[10]. Le jour-même, le pape François leur envoie sa bénédiction[11].
Éducation
Gabriella et son frère Jacques sont d'abord scolarisés dans l'établissement privé La Petite École (sur le port Hercule)[12] à la rentrée 2018. En 2019, ils entrent à l'école publique Stella (dans le quartier de La Condamine). Ils intègrent l'institution privée catholique François d'Assise-Nicolas Barré à la rentrée 2021[13].
Ascendance
Ascendance de la princesse Gabriella, comtesse de Carladès
↑Anthony Martin, « Charlène et Albert de Monaco : les parrains et marraines de Jacques et Gabriella », Voici, (lire en ligne)
↑Caroline Pigozzi, « Avec le pape François - Charlène et Albert au Vatican », Paris Match, (lire en ligne)
↑Dominique Bonnet, « Jacques et Gabriella, une rentrée dans une nouvelle école et une classe double », Paris Match, (lire en ligne, consulté le ).
↑Camille Romano, « Rentrée scolaire de Jacques et Gabriella de Monaco avec Albert, sans Charlene : la vidéo qui émeut », Gala, (lire en ligne, consulté le ).