Après la surprise de sa non-réélection pour un troisième mandat en [8] (qui est due selon les observateurs, dans cette élection à la proportionnelle où il obtient 40 918 voix contre 25 918 à l'élu socialiste autonomePietro Martinelli(de)[9], à la division de la gauche, à la mauvaise stratégie du PDC qui présente deux listes distinctes et au soutien de l'électorat chrétien social au candidat socialiste menacé sur sa gauche, et qui met fin à la formule magique régissant la répartition des sièges au gouvernement tessinois depuis 1922 avec 2 PRD, 2 PDC et 1 PS[10],[11]), il est élu au Conseil national en octobre 1987. Il y est réélu à deux reprises (1991 et 1995)[1]. Il siège au sein de la Commission des transports et des télécommunications (CTT), qu'il préside en 1996-1997, et de la Commission de politique extérieure (CPE). Il préside par ailleurs le Parti démocrate-chrétien tessinois de 1992 à 1996[5]. Il annonce sa démission en pour la fin de la session d'automne[12].
Positionnement politique
Appartenant à l'aile gauche de son parti[2], il est considéré comme un progressiste[6].
Autres mandats et activités
Il préside la Commission fédérale de l'énergie de 1979[13] à 1987, la Commission fédérale des étrangers de 1991 à 2000 et la Commission de la communication de 1997 à 2004[1].