Au début, il suit l'empirisme de Friedrich Eduard Beneke et s’oppose fermement à la tendance subjectiviste du système kantien, notamment en maintenant l’objectivité de l'espace et du temps, ce qui le plonge dans une controverse assez violente. Il préfère plus tard décrire son propre mode de pensée comme un réalisme idéal, qui refuse de réduire la réalité à la pensée, mais affirme un parallélisme entre les formes d’existence et les formes de connaissance. Beneke et Friedrich Schleiermacher exercent la plus grande influence sur le développement de sa pensée[1].
Œuvres (sélection)
De elementis animae mundi Platonicae (Sur les éléments du monde des idées platoniciennes , mémoire, 1850
Die Entwicklung des Bewußtseins durch den Lehrer und Erzieher (Le développement de la conscience par l'instructeur et l'éducateur), 1853
System der Logik und Geschichte der logischen Lehren (système de la logique et de l'histoire des doctrines de la logique), 1857
Über Idealismus, Realismus und Idealrealismus (Sur l' idéalisme, le réalisme et le réalisme idéal), 1859
Über die Echtheit und Zeitfolge der platonischen Schriften (Sur l'authenticité et la chronologie des écrits platoniciens), 1861