Son adhésion au naturalisme devient plus prononcée dans les œuvres de sa dernière période d'activité, comme on peut le voir dans La Mort de Lucrèce et le dramatique Saint Sébastien du musée de Picardie[1]. Il excelle, en particulier, à reproduire les effets de la lumière dans un style proche de celui de Gerrit van Honthorst.
↑Riccardo Spinelli, « Biographies », dans Mina Gregori, Le Musée des Offices et le Palais Pitti, Paris, Editions Place des Victoires, (ISBN2-84459-006-3), p. 665.
↑Mina Gregori (trad. de l'italien), Le Musée des Offices et le Palais Pitti : La Peinture à Florence, Paris, Editions Place des Victoires, , 685 p. (ISBN2-84459-006-3), p. 389.
Bibliographie
(en) Maria Farquhar : Biographical catalogue of the principal Italian painters, Éditions Ralph Nicholson Wornum, 1855, page 154. Exemplaire de l'Université d'Oxford, numérisé par Google Books le . [1]
(it) Filippo Baldinucci : Notizie dei professori del disegno da Cimabue in qua, Édition 1846, vol. IV, page 532