Après des études musicales avec le compositeur Georges Savaria, François Tétreau s’oriente vers la littérature et la traduction[1].
Il collabore à la revue Jungle, travaille aux éditions Le Castor astral et rédige des articles pour Vie des arts dont il est le correspondant[1],[3].
Au fil des années, Tétreau collabore épisodiquement à d’autres journaux et revues, dont 24 images, Obsidiane, Spot Estienne, Revue du cinéma Outremont, Espace, Lettres québécoises, Moebius, Tangence, Liberté, Le Couac, la Compagnie à numéro, Foldaan, Agotem, Trois, Estuaire et Le Devoir[1],[4].
En poésie, François Tétreau fait paraître plusieurs recueils dont Origine du deuil (Éditions d'Orphée, 1978), L'Architecture pressentie (L'Hexagone, 1981), Portrait de femme sur une table (Éditions du Noroît, 1985) ainsi que Chambre de lecture (Éditions du Noroît, 1994)[5],[6].
Comme romancier, il publie Le Lit de Procuste (L'Hexagone, 1987), Attentats à la pudeur (Trois, 1993) ainsi que En solo dans l'appareil d'État (L'Hexagone, 2001)[7],[8],[9],[10].
Œuvres
Poésie
Cirque électrique, Montréal, Éditions d'Orphée, 1974, 49 p.
Cantique de cuir, Montréal, Éditions d'Orphée, 1975, 45 p.
Origines du deuil : tombeaux, chanson et autres poèmes, Montréal, Éditions d'Orphée, 1978, 56 p.
Roussil écarlate, Montréal, Éditions du Trécarré, 1996, 157 p. (ISBN2-89249-689-6)
Weekend à Bouleternère : reportage historié de cinq photographies de voyage prises par l'auteur, Montréal, Le Temps volé, 2001, 69 p. (ISBN2-921856-19-0)
Le fait d'écrire, Montréal, Éditions du Noroît, 2018, 356 p. (ISBN9782897661472)
Traductions
Hart Crane Key West et autres poèmes coll. Orphée/La Différence 1989.
Morrison : Un festin entre amis, Frank Lisciandro, traduction de François Tétreau, Montréal, Triptyque / Moebius, 1997, 175 p.
↑« fiche », sur federationgenealogie.qc.ca (consulté le )
↑François Tétreau, « Tropique du Castor : le Castor Astral a 10 ans », Lettres québécoises : la revue de l’actualité littéraire, no 37, , p. 77–77 (ISSN0382-084X et 1923-239X, lire en ligne, consulté le )
↑Hugues Corriveau, « L’aurore en plein midi / André Brochu, Delà, Montréal, l’Hexagone, coll. « Poésie », 1994, 176 p., 15,95 $. / Gilles Cyr, Songe que je bouge, Montréal, l’Hexagone, coll. « Poésie », 1994, 128 p., 14,95 $. / Renaud Longchamps, Decimations2 : L'humanité véloce, Trois-Rivières, Écrits des Forges, 1994, 80 p., 10 $. / François Tétreau, Chambre de lecture, Montréal/Pantin (France), leNoroît/Le Castor astral, coll. «Résonance»,1994, 56 p., 12 $. », Lettres québécoises : la revue de l’actualité littéraire, no 77, , p. 36–37 (ISSN0382-084X et 1923-239X, lire en ligne, consulté le )
↑Lucie Bourassa, « Sourires, chairs et phrases », Le Devoir, , p. D9.
↑Réjean Beaudoin, « Veiller parmi les somnambules / François Tétreau, Attentats à la pudeur, roman, Éditions Trois/Le Castor Astral, 1993, 138 pages. », Liberté, vol. 35, no 6, , p. 182–188 (ISSN0024-2020 et 1923-0915, lire en ligne, consulté le )
↑Stanley Péan, « En terre étrangère », La Presse, , p. B2 •
↑Caroline Montpetit, « Passages à l'ouest », Le Devoir, , p. D1.
↑Noël Audet, « Un lit de Procuste, pour qui? / Le Lit de Procuste de François Tétreau, Montréal et Paris, l’Hexagone et le Castor Astral, 1987, 145 p., 15,95$. », Lettres québécoises : la revue de l’actualité littéraire, no 49, , p. 31–31 (ISSN0382-084X et 1923-239X, lire en ligne, consulté le )
↑« Prix et distinctions », Lettres québécoises : la revue de l’actualité littéraire, no 72, , p. 61–62 (ISSN0382-084X et 1923-239X, lire en ligne, consulté le )