Agent des droits d'acteurs près des théâtres, puis secrétaire-général de la commission des travaux publics[1], ses pièces, parfois signées Loraux jeune ou Fillette pour le distinguer de son frère Michel Loraux et de son père[2], ont été représentées au Théâtre de l'Opéra-Comique. Il obtient le succès avec La Romance en 1804[3], sur une musique de son oncle, Henri-Montan Berton.
Œuvres
La Fausse Apparence, opéra en 1 acte, 1802
Lodoïska, comédie en 3 actes, musique de Luigi Cherubini, 1803
Le Charme de la voix, opéra-comique en 1 acte, avec Charles Gaugiran-Nanteuil, musique de Berton, 1812
Bibliographie
Pierre Louis Pascal de Jullian, Phillipe Lesbroussart, Gerrit van Lennep, Galerie historique des contemporaines, vol. 6, 1819, p. 303
Notes et références
↑Joseph-Marie Quérard, La France littéraire ou dictionnaire bibliographique des savants..., 1833, p. 354
↑Les œuvres du père et du fils sont souvent confondues dans les biographies.
↑Galerie historique des contemporaines, vol. 6, 1819, p. 303 (Lire en ligne)