Maître de la Monnaie du comte Frédéric à Montbéliard (1586-1609), il lui gravera des pièces et des médailles. Considéré comme le plus grand potier d'étain de tous les temps, son célèbre bassin accompagnant son aiguière sont en exposition permanente au musée du Louvre.
Il est l'oncle de Nicolas Briot qui vit avec lui à Montbéliard à partir de 1601.
Galerie
Notes et références
↑"Bourg Vauthier", qui est indiqué comme le lieu de décès de François Briot, est un quartier de Montbéliard.
Annexes
Bibliographie
Article
De Richemond, « Le graveur lorrain François Briot », Bulletin historique et littéraire / Société de l'histoire du protestantisme français, , p. 277-279 (lire en ligne)
Ouvrages
Jean-Marc Debard, Les monnaies de la principauté de Montbéliard du XVIe au XVIIIe, Les Belles Lettres, 1980, p. 69
(de) Hans Demiani, Franc̜ois Briot, Caspar Enderlein und das Edelzinn, Leipzig, Karl Wilhelm Hiersemann, (lire en ligne), p. 10-30
Albert Jacquot, Essai de répertoire des artistes lorrains. , Les orfèvres, les joailliers, les argentiers, les potiers d'étain lorrains, Paris, (lire en ligne), p. 9-10
Louis Jouve, Les Wiriot et les Briot, artistes lorrains du XVIe et du XVIIe siècle : nouvelles esquisses, Paris (lire en ligne), p. 117-122
André Liénhart, «Science sans conscience n’est que ruine de l’âme»Une comparaison des messages de François Rabelais et de François Briot, (lire en ligne)
Léon Nardin, A propos d'un autographe du graveur lorrain François Briot - exposition rétrospective de Bâle (1912), vente d'une bibliothèque montbéliardaise à Strasbourg, Le livre d'amis de Léonard Binninger, Besançon, Imprimerie du Progrès, (lire en ligne)
Natalis Rondot, Les médailleurs et les graveurs de monnaies, 1904, p. 239