Il entra chez les jésuites, enseigna les humanités à Nevers, au collège du Mont à Caen, et au collège de La Flèche, puis vint à Paris pour se consacrer à la littérature. Après la dissolution de la société des Jésuites, il est recommandé par l'écrivain Fréron à l'électeur palatin : il se retire à Mannheim où il reste jusqu'à sa mort[1].
Choix de publications
Fabularum Aesopiarum libri quinque, 1754
Fabulae Mopsicae, 1768
Fables choisies du R. P. Des Billons, mises en vers françois, 1768
Histoire de la vie chrétienne et des exploits militaires d'Alberte-Barbe d'Ernecourt, connue sous le nom de Madame de Saint-Balmont, Liège-Paris, J.J. Tutot- veuve Babuty, 1773. Ouvrage numérisé.
Nouveaux éclaircissements sur la vie et les ouvrages de Guillaume Postel, 1773 Texte en ligne
Fabulae Aesopiae, curis posterioribus omnes, 6e édition, 1778 Texte en ligne
Ars bene valendi, 1788
Carmen de pace christiana, sive de hominis felicitate, 1789
Notes et références
↑Roland Desné, « Treize lettres inédites de Fréron au Père Desbillons », Dix-Huitième siècle, 1979, p. 271-306.
Bibliographie
Roland Desné, « Treize lettres inédites de Fréron au Père Desbillons », Dix-Huitième siècle, 1979, p. 271-306.
Pierre Dubois, «Le Père Desbillons», Mémoires de la Société des Antiquaires du Centre, XIV (1886-87), p. 139-306. Revue numérisée sur gallica.
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