Frédéric-Émile est formé par son père, né à Strasbourg, Frédéric Sigismond Simon (22 août 1774 - ?), qui y ouvre un atelier en 1802 produisant des vignettes gravées sur cuivre ; le 26 mars 1823 il obtient une patente l'autorisant à produire des lithographies à partir du cuivre. Il prend sa retraite en 1833, et son fils reprend la direction de l'imprimerie[1].
Il met au point en 1855 un procédé appelé « cartégraphie »[2].
↑[PDF] (en) Dominique Lerch, « The Simons, father and son, engravers and lithographic printers in Strasbourg (1802-1881), a high point in French lithography » (trad. Michael Twyman), Journal of the Printing Historical Society, 2017, p. 25-40 — lire en ligne.
↑Par exemple le Bulletin de la papeterie, Paris, août 1886, p. 156 — lire sur Gallica.
Annexes
Bibliographie
(en) Dominique Lerch, « The Simons, father and son, engravers and lithographic printers in Strasbourg (1802-1881), a high point in French lithography » (trad. Michael Twyman), Journal of the Printing Historical Society, 2017, p. 25-40.