On distingue deux types de formiate déshydrogénases[2] : celles qui ne contiennent pas de cofacteurs métalliques et transfèrent les électrons vers le NAD+ ou NADP+ (formiate déshydrogénase N, EC1.17.1.9), et les métalloenzymes utilisant un site actif à molybdène ou à tungstène[3], qui contiennent un ou plusieurs clusters fer-soufre et donnent les électrons à un accepteur d'électron protéique, comme un cytochrome (EC1.2.2.1).
↑Luisa B. Maia, José J. G. Moura et Isabel Moura, « Molybdenum and tungsten-dependent formate dehydrogenases », Journal of biological inorganic chemistry, vol. 20, no 2, , p. 287–309 (ISSN1432-1327, PMID25476858, DOI10.1007/s00775-014-1218-2, lire en ligne, consulté le )
↑José J. G. Moura, Carlos D. Brondino, José Trincão et Maria João Romão, « Mo and W bis-MGD enzymes: nitrate reductases and formate dehydrogenases », Journal of biological inorganic chemistry, vol. 9, no 7, , p. 791–799 (ISSN0949-8257, PMID15311335, DOI10.1007/s00775-004-0573-9, lire en ligne, consulté le )