Le , il annonce un plan d'intégration à court terme de 50 000 combattants ex-rebelles dans les forces armées et celles du ministère de l'intérieur[2].
Le , il annonce qu'il démissionne pour protester contre les critiques du Congrès général national[3],[4],[5] qui accuse ses forces de laxisme après la recrudescence de violences dans le pays[6],[7].
Deux jours après, il revient sur sa décision de quitter le gouvernement[8].
Il demeure en fonction jusqu'à la prestation de serment du nouveau gouvernement d'Ali Zeidan le .