La famille est l'une des plus anciennes familles nobles prussiennes et prospère déjà au XIIIe siècle, avant la colonisation par l'Ordre Teutonique. Très peu de familles nobles prussiennes sont d'origine prussienne. Les plus puissants, tels que les Auerswald, Dönhoff, Dohna, Eulenburg, Kanitz, Kreytzen, Lehndorff, Tettau, Wallenrodt et d'autres, sont originaires de Saxe, de Franconie et de Silésie. Mais les Kalnein, comme les Braxein, les Perband(de)[1] et les Saucken, sont des familles indigènes[2].
Le nom original est « Katzenblauer »[4], ce qui explique également les armoiries originales[5]. Frédéric apparaît comme juge de district en Prusse en 1440. Albrecht von Kalnein(de) (1611-1683) devient burgrave principal du duché de Prusse en 1655[4], après avoir déjà été conseiller principal et chancelier principal en 1653[6].
Stanislas von Kalnein (1737-1818), propriétaire d'un manoir à Aweyden, Porschkam(de) etc. en Prusse-Orientale, est élevé au rang de comte prussien à l'occasion de l'hommage héréditaire à Königsberg le 19 septembre 1786[7].
Blason
Armoiries comtales : Palmier poussant sur un sol vert et tenu par deux léopards. Le casque avec une couronne comtale[7],[8].
George Adalbert von Mülverstedt, dir., Sammlung von Ehestiftungen und Leibgedingsbriefen ritterschaftlicher Geschlechter der Provinzen Sachsen, Brandenburg, Pommern und Preußen. 360 p., Magdebourg, 1863, Seiten 108, 109, 195, 196, 266, 307, 309, 313 et 314 (Digitalisat im Münchener Digitalisierungszentrum)
Liens externes
Références
↑Gesammelte Schriften und Denkwürdigkeiten des General-Feldmarschalls Grafen Helmuth von Moltke, Band 4, Berlin 1891, S. 157.
↑ a et bMaximilian Gritzner: Chronologische Matrikel der Brandenburgisch-Preußischen Standeserhöhungen und Gnadenacte von 1600–1873. Berlin 1874, S. 42.
↑J. Siebmachers grosses und allgemeines Wappenbuch in einer neuen, vollständig geordneten und reich vermehrten Auflage mit heraldischen und historisch-genealogischen Erläuterungen, Der Adel des Königreichs Preußen, bearbeitet von Otto Titan von Hefner, Nürnberg 1857, S. 14 und Tafel 15.