Dieudonné Sarton, né en 1730 et mort le 16 octobre 1801 à Anse (Rhône), trésorier de France à Lyon du 25 septembre 1782 à 1790[1],[2], est le premier à s'établir dans la région lyonnaise[3].
Cette famille a donné de multiples officiers de l’armée aux XIXe et XXe siècles.
Personnalités
Charles Sarton du Jonchay (1863-1940), général de division, commandant la cavalerie d’Algérie[4]
Louis Joseph François Sarton du Jonchay (1872-1959), colonel de cavalerie[5]
D'or au lion de gueules, au chef d'azur chargé d'une étoile d'argent[1]
Notes et références
↑ a et bRaoul de Warren, Grand Armorial de France, tome 6, p.173, 1948
↑Dictionnaire de la vraie / fausse noblesse, Tallandier, p.309, 2008
↑Arnaud Clement auteur de l'ouvrage La noblesse française, Acadomia, 2021, écrit : ►Sarton du Jonchay (Beaujolais, Lyonnais) : Dieudonné S. du J. (1730-1801), fut pourvu de la charge de président-trésorier de France au bureau des finances de Lyon le 25 septembre 1782. (noblesse graduelle, condition non accomplie). Veuf, il acquiert le domaine du Jonchay à Anse (Rhône). Il comparait avec la noblesse en 1789. La famille serait originaire de Liège en Belgique. Elle occupa une place distinguée dans l’horlogerie : Hubert Sarton est l’inventeur de la montre automatique. La famille s’est illustrée au XIXe siècle avec Simon-Joseph-Charles, général de division, commandant la cavalerie d’Algérie, commandeur de la légion d’honneur. Famille largement représentée. [SS, WP, Diou 2002/2010, PPC, TA, ADF 15, SEC]. D'or au lion de gueules ; au chef d'azur chargé d'une étoile d'argent.