écartelé : 1 et 4 d'argent au noyer de sinople au chef d'azur chargé de 3 étoiles d'argent: 2 et 3 coupé en chef d'argent au noyer de sinople et en pointe d'argent au lion issant de gueules
Gustave Chaix d'Est-Ange écrit que cette famille, qui demeurait au XVIIIe siècle à Carennac dans le Quercy, ayant eu sa noblesse contestée, produisit lors d'un procès en 1787 devant le parlement de Toulouse un acte notarié daté du 24 octobre 1429 dans lequel noble Jean Dunoyer donnait l'investiture pour certaines terres de sa seigneurie de Ségonzac, sur le territoire appelé Menoul, ainsi qu'une généalogie remontant au testament le 11 mai 1558 de Pierre Dunoyer, seigneur de Sarrazac[1]. Il ajoute qu'elle n'avait pas fait reconnaître sa noblesse auparavant lors des grandes recherches ordonnées au XVIIe siècle par le roi Louis XIV et qu'elle s'agrégea à la noblesse au XVIIIe siècle[1].
Jean-Jacques Dunoyer (Carennac 1755 - Carennac 1793), fils d'Arnaud Dunoyer et de Françoise de Métivier, probablement l'acteur du procès de 1787, est le premier à avoir pris le nom de Dunoyer de Ségonzac.
Les armes de la famille se blasonnent ainsi : écartelé : 1 et 4 d'argent au noyer de sinople au chef d'azur chargé de 3 étoiles d'argent: 2 et 3 coupé en chef d'argent au noyer de sinople et en pointe d'argent au lion issant de gueules.[1]
Louis Dunoyer de Segonzac (né en 1959), compositeur français de musiques de scène, arrangeur et directeur musical pour la télévision.
Aliette Dunoyer de Segonzac (1921-2004), nommée Juste parmi les Nations pour avoir caché ses voisins juifs, les familles Aboressi et Lyon, dans sa villa de Juan-les-Pins en [4].
Jehan Dunoyer de Segonzac (1920-2000), son frère, combattant de la 2e DB, blessé à Andelot le [5].
Le basketteur Victor Wembanyama est un descendant en ligne directe au sixième degré de Charles Dunoyer de Segonzac, par son arrière-grand-mère Madeleine Dunoyer de Segonzac (1912-2012).
Les principales alliances de la famille Dunoyer de Segonzac sont[1] : de Lagrange (1780), Renouard de Sainte-Croix (1837), Moullart de Vilmarest (1868), de Séjournet de Rameignies (1914), de Malet de Coupigny (1919), de Witte (1936 et 1938), de Carné-Trécesson de Coëtlogon (1951), de Villoutreys de Brignac.