À la suite de l'invasion de la Belgique en 1940, il fuit aux États-Unis. Après la guerre, en 1946, il revient à Bruxelles, où il poursuit ses recherches. En 1949, il est nommé maître de conférences ; en 1953, professeur.
(de) Historische Topographie von Nordsyrien im Altertum, Leipzig, 1923 (largement inspiré de sa thèse de doctorat présentée à Breslau en 1920)
(de) Die sieben Klimata und die poleis episēmoi. Eine Untersuchung zur Geschichte der Geographie und Astrologie im Altertum und Mittelalter, Heidelberg, 1929
(de) Die Ostgrenze des Byzantinischen Reiches von 363 bis 1071 nach griechischen, arabischen, syrischen und armenischen Quellen, Bruxelles, 1935
Le Synekdèmos d’Hiéroklès et l’opuscule géographique de Georges de Chypre, Bruxelles, 1939
(en) The Lost end of Menander’s Epitrepontes, Bruxelles, 1950
(en) Patristic Studies, Rome, 1953
Trois mémoires posthumes d’histoire et de géographie de l’Orient chrétien, Bruxelles : Société des Bollandistes, 1961. Œuvre posthume complétée par Paul Devos[2],[3]
Références
↑(de) Honigmann, Ernst (1892-), DIPF / BBF Bibliothek für Bildungsgeschichtliche Forschung (Certificat de naissance)
Henri Grégoire, « In memoriam Ernest Honigmann », Byzantion, vol. 23, 1953, p. 586–598
Mémoires de l’Académie Royale de Belgique, Bruxelles, 1961, p. v et suivantes.
Joseph Walk (dir.), Kurzbiographien zur Geschichte der Juden 1918–1945, Leo Baeck Institute, Jerusalem. Réimpression à Munich : Saur, 1988. (ISBN3-598-10477-4)