Le nom vient du genre typeEnsiculifera, dérivé du latin ensiculus, « épée ; épine », et du suffixe -fera, « qui porte » en référence à la présence d'une épine interne (« ensiculum ») attachée à la première plaque ceinturant[note 1] l'organisme[3]. Balech, descripteur du genre, donne les précisions suivantes « Le nom fait référence au processus ensiforme de la plaque 1. Ensiculifera est traité ici comme un nom féminin signifiant « porteur de poignard »[2] ».
Cependant, bien que le nom du genre soit basé sur la présence d'une épine sur Ensiculifera, Li Zhun et ses collaborateurs précisent, dans leur étude de 2020[note 2], que : « la présence ou l'absence d'épines n'est pas un diagnostic sans équivoque pour différencier les genres Ensiculifera, Pentapharsodinium et Scrippsiella[note 3] »[3].
(en) Zhun Li, Kenneth Neil Mertens, Marc Gottschling, Haifeng Gu, Sylvia Söhner, Andrea M Price, Fabienne Marret, Vera Pospelova, Kirsty F Smith, Consuelo Carbonell-Moore, Elisabeth Nézan, Gwenael Bilien et Hyeon Ho Shin, « Taxonomy and Molecular Phylogenetics of Ensiculiferaceae, fam. nov. (Peridiniales, Dinophyceae), with Consideration of their Life-history », Protist, Elsevier, vol. 171, no 5, , p. 125759 (ISSN1434-4610 et 1618-0941, PMID33126019, DOI10.1016/J.PROTIS.2020.125759, lire en ligne).
↑ a et b(es) Enrique Balech. Dinoflagelados nuevos ointererantes del Golfo de Mexico y Caribe. Travajo de la Estacion hidrobiologica de Puerto de Quequén(es), Argentine. Hidrobiología, t. 11, no 3, 1967, 126 p. + pl. I-IX, p. 122