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Ed Atkins grandit à Stonesfield, un petit village en banlieue d'Oxford. Sa mère est professeur d'art dans une école publique et son père est graphiste[1]. Il obtient son baccalauréat à Central Saint Martins et a ensuite obtenu une maîtrise en beaux-arts de la Slade School of University College London[2].
Atkins donne des conférences au Goldsmiths College de Londres[2] et a été qualifié de "l'un des grands artistes de notre temps" par le conservateur suisse Hans-Ulrich Obrist[1].
Atkins a eu des expositions personnelles à la Tate Britain, au Stedelijk Museum d'Amsterdam, à la Chisenhale Gallery, au MoMA PS1, à la Serpentine Gallery, au Palais de Tokyo et à la Kunsthalle Zürich. Au Serpentine Memory Marathon en 2012, il crée DEPRESSION[3], une performance qui utilise la projection, la voix modifiée numériquement et le masque de chrominance pour simuler les techniques cinématiques de ses vidéos[4]. En conjonction avec le Serpentine Extinction Marathon de 2014, Atkins produit www.8007274, un domaine qui invite les utilisateurs à s'inscrire pour une correspondance par e-mail unilatérale d'une décennie[5].
Bibliographie
Kathy Noble, 'Ed Atkins', ArtReview, London, no. 46, March 2011, p. 97.
Isobel Harbison, 'Ed Atkins', Frieze, London, no.139, May 2011. Last accessed on 30 April 2015.
Richard Whitby, 'Ed Atkins', MAP Magazine, Glasgow, no. 25, 10 July 2011. Last accessed on 30 April 2015.
Patrick Ward, 'Cross Platform', The Wire, London, October, 2011, p.v16.
Dan Kidner, 'More Than a Feeling', Frieze, London, no. 142, October 2011, p. 210-215.
Ed Atkins and Caterina Riva, 'Come Dine With Us', Nero, Rome, no. 25, Winter 2011, p. 35-39.
Hans Ulrich Obrist and Ed Atkins, 'Ed Atkins; Interview by Hans Ulrich Obrist', Kaleidoscope, Milan, no.13, Winter 2011/2012, p. 138-147. Last accessed on 30 April 2015.
Martin Herbert, 'Ed Atkins', Artforum, New York, vol. 56, no. 6, February 2012, p. 212-215.