Il est également l'auteur du livre végétalienLe Livre des Cinq Cuisines (咒偈, zhòu ?), qui est plagié par le moine du bouddhisme chán, Xingduan (行端, dynastie Yuan), dans son Livre des Trois Cuisines prêché par le Bouddha (佛說三停廚經)[1].
Franciscus Verellen, Du Guangting (850-933), taoïste de cour à la fin de la Chine médiévale, Mémoire de l'Institut des hautes études chinoises, vol. XXX, De Boccard, 1989. [résumé] et [compte-rendu]
(en) Franciscus Verellen, , « Shu as a hallowed land : Du Guangting's Record of Marvels », Cahiers d'Extrême-Asie, 1998, vol. 10, numéro 10 [lire en ligne]
(en) Francisais Verellen, « Encounter as revelation. A Taoist hagiographie theme in medieval China », Bulletin de l'École française d'Extrême-Orient, 1998, volume 85, numéro 85 [lire en ligne]
Christine Mollier, « Les cuisines de Laozi et du Bouddha », Cahiers d'Extrême-Asie, École française d'Extrême-Orient, vol. 11, Nouvelles études de Dunhuang : Centenaire de l'École française d'Extrême-Orient, 1999-2000, p. 45-90 (lire en ligne)