Zephyrs de Chicago Lakers de Los Angeles Lakers de Los Angeles Celtics de Boston Celtics de Boston Celtics de Boston Celtics de Boston Celtics de Boston Celtics de Boston Celtics de Boston Celtics de Boston Celtics de Boston Celtics de Boston Celtics de Boston
On lui attribue généralement l'invention de la stratégie dite du hack-a-player[3]. Il fut également l'un des principaux utilisateurs de la stratégie dite du run and gun.
Carrière de joueur
Issu de l'université d'Iowa, Don Nelson est sélectionné en dix-neuvième position de la draft 1962 par les Zephyrs de Chicago. Il évolue aux Zephyrs pendant deux saisons avant d'être vendu au Lakers de Los Angeles en 1964. Il est libéré l'année suivante et signé par les Celtics de Boston. Nelson y achève la meilleure saison de sa carrière, avec 10 points et 5 rebonds de moyenne, en tant que membre de l'équipe des Celtics qui remporte le titre NBA. Il est alors considéré comme l'un des meilleurs sixième homme de la ligue.
En 10 saisons chez les Celtics, il remporte cinq titres. Il prend sa retraite de joueur après quatorze saisons. Son numéro, le 19, est retiré par les Celtics en 1978[réf. nécessaire].
Carrière d'entraîneur
Don Nelson prend les rênes de la franchise des Bucks de Milwaukee et commence à montrer ses capacités de recrutement : il effectue son premier transfert en envoyant Swen Nater aux Braves de Buffalo en échange d'un choix de draft avec lequel il sélectionne Marques Johnson, qui eut une solide carrière avec les Bucks.
Il quitte les Bucks après sept saisons, chacune au-dessus de la barre des 50 victoires en saison régulière, mais sans jamais remporter le titre.
Nelson devient alors l'entraîneur et le vice-président des Warriors de Golden State, où il reçoit la distinction d'entraîneur de l'année une troisième fois en 1992.
Il recrute à Golden State une quantité incroyable de joueurs talentueux comme Tim Hardaway, Latrell Sprewell et Chris Webber. Il quitte l'équipe après un mauvais début de saison et une dispute avec Chris Webber.
Durant l'été 1995, Nelson signe avec les Knicks de New York, mais ne reste que jusqu'en 1996, à cause de résultats moyens et de mésententes avec les joueurs.
Il prend alors les rênes de l'équipe de Dallas en 1997.
Il métamorphose l'une des plus mauvaises équipes de la ligue et mène les Mavericks à quatre saisons consécutives à plus de 50 victoires, en assemblant ce qui est certainement l'équipe la plus talentueuse sur le papier de la ligue, grâce à son flair (il récupère entre autres Dirk Nowitzki contre Robert Traylor). Néanmoins, Nelson n'accède toujours pas aux finales avec son équipe.
En 2005, Nelson quitte son poste d'entraîneur et nomme à sa place Avery Johnson, ancien joueur des Mavericks que Nelson a lui-même recruté en tant qu'assistant. Il explique sa démission en affirmant que les joueurs obéissaient mieux à Johnson qu'à lui. Après quelques mois au poste de consultant pour la franchise de Dallas, Nelson quitte le texas pour retrouver le banc des Warriors à l'orée de la saison 2006-2007. Il reste à la tête de cette dernière équipe jusqu'en septembre 2010. Durant cette saison, il dépasse le record du nombre de 1 332 victoires en NBA détenu par Lenny Wilkens lors d'une victoire 116 à 107 face aux Timberwolves du Minnesota[4]. Il est remplacé à son poste d'entraîneur principal par son ancien adjoint Keith Smart[5].
2eme au Record de victoires en carrière (derrière Popovich 1336): 1 335 succès. Lenny Wilkens, ancien détenteur du record, est resté bloqué à 1 332 victoires.