La chanson rencontre un grand succès en Europe, en Amérique du Nord, en Amérique latine en Océanie et en Afrique du Sud. Elle est la seule chanson de langue française à s'être classée numéro 1 des ventes de disques aux États-Unis, et ce pendant tout le mois de décembre 1963. C'est également la première fois qu'une artiste belge parvient à se classer numéro 1 des ventes de disques dans ce pays.
Le 45 tours s'est écoulé à plus de 3 millions d'exemplaires dans le monde, selon le Billboard magazine[1].
La chanson est nommée aux Grammy Awards 1964 américains pour le titre de chanson de l'année (Record of the Year)[2] et pour le titre de meilleure performance religieuse qu'elle remporte[3].
« Dominique, nique, nique S'en allait tout simplement, Routier pauvre et chantant. En tous chemins, en tous lieux, Il ne parle que du Bon Dieu, Il ne parle que du Bon Dieu. »
Reprises
En 1964, le groupe américain Village Stompers enregistre une version instrumentale en style Dixieland de la chanson[20].
La chanson est interprétée dans une version traduite en langue anglaise par Debbie Reynolds dans le film américain Dominique de 1966.
En 1979, le groupe Odeurs propose une version humoristique disco/funk du morceau, avec une introduction parodiant Earth, Wind and Fire. C'est Sapho (chanteuse) qui interprete le titre.
En 1982, Sœur Sourire sort une version disco, arrangée par les musiciens de Telex.
En 1998, on peut entendre une phrase de reprise en remixant les paroles dans la chanson de Koffi Olomide dans sa chanson « Rond Point » dans l’album : Droit de Veto
En 2009, dans le premier épisode de la saison 3 de Skins.
En 2009, dans le dixième épisode de la saison 3 de Mad Men.