Travaillant dans le Laboratoire d'anthropologie juridique (Sorbonne), il a soutenu, en 1985, une thèse de doctorat d'État : Nyambéisme, pensée et mode d'organisation des négro-africains[4]
Publications
Bible de la sagesse bantoue : choix d'aphorismes, devinettes et mots d'esprit du Cameroun et du Gabon, Paris, Centre artistique et culturel camerounais, 1955
Évolution des structures politiques au cœur de l'Afrique du IX au XIXe siècle - éditions Beloté (1970)
Anthropologie juridique du mariage en Afrique noire. Volume 1, les Ngala du Cameroun, Paris, Laboratoire d'anthropologie juridique, 1970
Les Descendants des pharaons à travers l'Afrique, Yaounde, Osiris Africa ; Paris, diffusion Publisud, 1985
Les Problèmes de l'anthropologie et de l'histoire africaines - éditions Clé Yaoundé (1982)
Hommage du Cameroun au professeur Cheikh Anta Diop, Dika Akwa Nya Bonambela (sous la direction de), Nouvelles du Sud 37/38, Editions Panafrika / Silex / Nouvelles du Sud, Dakar, 2006 (ISBN2912717353)
Descendants: Doumbe, Jeki, la famille (dika) betote akwa
Notes et références
↑« Dika Akwa », sur afrocentricite.com (consulté le ).
↑Michel Alliot, Etienne Le Roy, Jacqueline Le Roy, Un passeur entre les mondes, Publications de la Sorbonne, 2000, p. 333
Annexes
Bibliographie
Jaap van Slageren, Influences juives en Afrique. Repères historiques et discours idéologiques, Karthala, 2009, p. 104 (ISBN9782811102203)
Michel Alliot, « Adresse au prince Dika Akwa Nya Bonambela », in Un passeur entre les mondes, Publications de la Sorbonne, 2000, p. 333 (ISBN9782859443955)
Auguste Léopold Mbondé Mouangué, Pouvoirs et conflit dans Jéki la Njambé. Une épopée camerounaise, 2005, p. 315 et suiv. (ISBN2-7475-8366-X)