Denis Biénès né le à Toulouse, est un joueur français de rugby à XIII, auquel on prête parfois des qualités d' « exceptionnel défenseur »[1], qui, après une carrière en rugby à XV, passe à XIII pour y devenir notamment international.
Il a remporté le championnat de France et la Coupe de France avec son club, Saint-Gaudens, en 1991.
Issu d'une famille de rugbymen, il est le père de Clément Biénès, international « espoir » en rugby à XIII.
Il y a une certaine confusion dans la littérature et les médias concernant le nombre de sélection réel de ce joueur en équipe de France.
Un auteur treiziste réputé indique que le joueur aurait porté « 17 fois le maillot tricolore »[1]. Mais dans la presse régionale, on peut parfois lire que le joueur a « porté le maillot de l'équipe de France à onze reprises »[5].
Selon une troisième source[6], voici une liste de douze rencontres auxquelles a participé Denis Biénès :
↑ ab et cAimé Mouret, Le Who's who du rugby à XIII, Toulouse, Éditions de l'Ixcea, , 291 p. (ISBN978-2-84918-118-8), « Biénès Denis », p. 39
↑Louis Bonnery, Le rugby à XIII le plus français du monde, Limoux, Cano&Franck, , 489 p. (ASINB000X3Z932), « Palmarès de la Coupe de France », p. 397
↑Louis Bonnery, Le rugby à XIII le plus français du monde, Limoux, Cano&Franck, , 489 p. (ASINB000X3Z932), « Palmarès du championnat de France », p. 391
↑Hervé Girette, « Un appétit de Roselionnes », sur ffrxiii.fr, (consulté le ) : « [...] avant de devenir champion de France de DN2 avec Jules-Julien, en 1994, cette fois comme pilier, aux côtés notamment de joueurs réputés, André Pérez, Denis Biénès, Jean-Claude Anselme, Philippe Bosch. »
↑D.N, « Le TO serre les dents », sur ladepeche.fr, La Dépêche du Midi, (consulté le ) : « Son père, Denis [ Bienes], a connu la consécration nationale avec Saint-Gaudens en 1991 et a également porté le maillot de l'équipe de France à onze reprises »
↑Louis Bonnery, Le rugby à XIII le plus français du monde, Limoux, Cano&Franck, , 489 p. (ASINB000X3Z932), « Internationaux de 1934 au 31 décembre 1995 », p. 430