Auteur de fictions brèves, il publie La descente du singe : textes brefs, courts ou pas trop longs (Le Quartanier, 2007), Mon nom est personne (Le Quartanier, 2010) ainsi que À la morte-saison (Le Quartanier, 2013)[3],[4],[5],[6],[7],[8].
À la morte-saison, Montréal, Le Quartanier, 2013, 37 p. (ISBN9782896981250)
Traductions
« À titre posthume », de Daniil Harms, récits choisis et traduits du russe par David Leblanc, Liberté, no 269, septembre 2005, p. 111-130.
« Toujours à titre posthume », de Daniil Harms, récits choisis et traduits du russe par David Leblanc, précédé de « Ci-gît Daniil Harms », Liberté, no 272, mai 2006, p. 55-67.
↑Manon Toupin, « Un premier livre publié pour David Leblanc », La Nouvelle Union édition Weekend (Victoriaville) • Vol: 53 No: 32 •, , p. 42 •
↑« Littérature québécoise - Présence de l'absence : Une plongée dans les délirantes et ludiques « fictions » de David Leblanc », Le Devoir •, , p. F2 •
↑« Au-delà de l'absurde, l'amer », Le Nouvelliste (Trois-Rivières) •, , p. E9 •
↑Manon Toupin, « Les confidences littéraires de David Leblanc », La Nouvelle Union (Victoriaville) • Vol: 15 No: 12 •, , p. 52.
↑Yvon Paré, « Jean-Marc Massie, Real La Rochelle, David Leblanc », Lettres québécoises : la revue de l’actualité littéraire, no 131, , p. 39–40 (ISSN0382-084X et 1923-239X, lire en ligne, consulté le )
↑Hugues Corriveau, « Marc Séguin, David Leblanc, Émilie Andrewes », Lettres québécoises : la revue de l’actualité littéraire, no 142, , p. 21–22 (ISSN0382-084X et 1923-239X, lire en ligne, consulté le )