Conjecture d'ArnoldEn géométrie symplectique, la conjecture d'Arnold concerne une estimation du nombre de points fixes d'un symplectomorphisme, c'est-à-dire d'un difféomorphisme symplectique. En 1983, la conjecture d'Arnold fut confirmée pour les tores par Conley et Zehnder[1]. En 1985, Fortune démontre la conjecture pour les espaces projectifs complexes[2], se basant sur des travaux antérieurs mais non publiés de Yakov Eliashberg. Notes et références
|