Le concile ouvert le [2] adopta, d'une part, une série de canons et une définition de foi qui sauvegardèrent et la gratuité de la grâce et l'importance des efforts de l'homme.
Rien de bien, l'homme ne peut sans Dieu. Beaucoup de bien, Dieu fait en l'homme, que l'homme ne fait pas ; aucun bien l'homme ne fait, sinon celui que Dieu veut.
Les actes du concile furent confirmés par Boniface II dans sa lettre Per filium nostrum à l'évêque Césaire d'Arles, le .
Notes et références
↑Histoire de la France religieuse, des origines au XIVe siècle, pages 126-130.
↑Louis Moréri, Le Grand dictionnaire historique ou le mélange curieux de l'histoire sacrée, Goujet, (lire en ligne), p. 9.