Parmi les points phares du programme de la coalition figurent notamment le développement du secteur public dans divers domaines (santé, transports et, particulièrement, éducation), la conservation de l'environnement, la défense de la normalisation du valencien, la revendication d'un modèle d'État fédéral et républicain, et le vote d'une loi de comarcalisation de la région.
À l'issue des élections autonomiques, la formation remporte 7,9 % des voix et obtient sept sièges[1], devenant ainsi la troisième force politique de la région, cependant loin derrière le Parti populaire et le PSPV-PSOE. Toutefois, une crise survenue en 2007 au sein d'EUPV, entre les secteurs nationalistes et ceux proches du Parti communiste du Pays valencien, se solde par une scission du parti Initiative du peuple valencien (IPV), l'expulsion de plusieurs membres élus et un départ des membres d'EUPV de la coalition[2],[3],[4],[5] qui est dissoute en .
En 2011, une nouvelle coalition similaire, Coalition Compromís, est mise en place, cette fois sans la participation d'EUPV.