Johannes Strolz est sacré champion olympique de la discipline, quelques semaines après sa première victoire inattendue en Coupe du Monde. Il construit sa victoire en prenant la quatrième place de la descente à 75/100e de seconde d'Aleksander Aamodt Kilde qui réalise logiquement le meilleur temps[1],[2]. Dans cette nouvelle formule du combiné où les coureurs s'élancent pour le slalom dans l'ordre du classement de la descente (et non en ordre inversé), il est le plus rapide des vingt-quatre concurrents encore en lice entre les piquets serrés, et remporte la médaille d'or avec 59/100e d'avance sur Kilde et 68/100e sur le Canadien James Crawford qui avait fini deuxième de la descente[3]. La famille Strolz possède désormais deux titres olympiques du combiné alpin, puisque le père de Johannes, Hubert Strolz, s'était imposé dans la discipline à Calgary en 1988[3]. Un père et un fils sacrés individuellement dans la même épreuve aux Jeux olympiques d'hiver est une première historique[4]