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Il exerce les fonctions de secrétaire-greffier du roi de Pologne puis d'économe séquestre des bénéfices de Lorraine et du Barrois[3].
Il mène une réflexion sur l'impôt et s'inscrit dans la lignée des physiocrates[4].
Dans son ouvrage Équation des tributs, publié en 1764, il analyse le contenu de la déclaration royale du 21 novembre 1763, dont les dispositions lui paraissent annoncer une « heureuse révolution »[4].
Il répond dans ce mémoire à la question académique Quelle est la méthode de culture la plus convenable à la vigne, relativement au climat, à la température, au sol du pays messin ?
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Mémoires sur les salines de Lorraine, Trois-Evêchés et Franche-Comté, [s.l., n.d].
Notes et références
↑Société d'archéologie lorraine et du Musée historique lorrain, Mémoires, (lire en ligne)
↑Description de la Lorraine et du Barrois. Par m. Durival l'aîné. Tome premiere [-troisieme], (lire en ligne)
↑Justin Favier, « Notice sur Nicolas Durival », Mémoires de la Société d'archéologie lorraine, , p. 35-36 (lire en ligne)
↑ a et bArnaud Decroix, Question fiscale et réforme financière en France, 1749-1789: logique de la transparence et recherche de la confiance publique, PUAM. Presses universitaires d'Aix-Marseille, (ISBN978-2-7314-0523-1, lire en ligne)
↑Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle: Duh-Eys, Éditions Vendôme, (lire en ligne)