Il succède à un cimetière devenu trop petit situé sur le plateau de la Gravette qui fut fermé en 1955. Créé en 1953, il est l'un des plus grands de la commune.Trois monuments aux morts sont visibles; consacrés aux disparus d'Afrique du Nord et d'Outre-Mer, aux civils et militaires de la guerre d'Algérie (1954-1962) et aux réfugiés espagnols[1],[2],[3],[4].
Personnalités inhumées
Armande Oustric (1912-1996), supportrice de l'ASC XIII[5];
Philippe Mariou, Les cimetières, un art oublié. Histoire du patrimoine de Carcassonne. Éditions Vox Scriba, 112.p. Carcassonne 2020
Martial Andrieu, Carcassonne, les maires de la Révolution française à aujourd'hui. Éditions Musique et patrimoine, 155.p. Limoges 2021 (ISBN978-2-9543282-5-6)
La tombe d'Alfred Tomatis.
La tombe de Jean Cau.
Vue partielle de la tombe de Fernand Ancely.
La tombe de Jacques Charpentier.
Notes et références
↑Jean-Louis H.Bonnet, A la recherche du passé, hommes et femmes illustres ou inconnus des cimetières de Carcassonne, plaquette, Carcassonne, Direction des cimetières et opérations funéraires de la ville de Carcassonne, , 36 p., p. 5 à 6