Né à Birmingham en Angleterre, il est le fils d'Albert Charles Ward et de Daniella Joy Griffiths. Ward grandit et étudie à Dundas en Ontario. Il marie Carol Suzanne Hunter.
Carrière politique
Ward commence sa carrière en tant que conseiller municipal de l'ancienne ville de Flamborough(en) (aujourd'hui fusionnée à Hamilton) en 1978. conseiller régional en 1980 et maire en 1982[1].
En 1984, il se présente dans la circonscription de Wentworth-Nord lors d'une élection partielle, mais il est défait par la candidat progressiste-conservatrice Ann Sloat par 169 voix[2]. Il prend sa revanche lors des élections générales de 1985[3] et est réélu en 1987[4].
Durant son passage à l'Assemblée législative de l'Ontario, il sert comme assistant-parlementaire du ministre de la Santé du au et assistant du procureur général Ian Scott de janvier à septembre 1987[5]. Promu ministre de l'ministre de l'Éducation le , il est muté au ministère des Services gouvernementaux et leader du gouvernement en chambre lors du remaniement ministériel du .
Défait lors de l'élection de 1990, Ward est défait par un différence de 88 voix[6]. Durant la campagne, il se trouve visé par un groupe d'avocats locaux qui s'opposaient à l'instauration d'une assurance-auto de type no-fault par le gouvernement Peterson.
À nouveau défait dans Wentworth-Nord en 1995, il est défait par le progressiste-conservateur Toni Skarica[7].
Après avoir quitté la politique, Ward devient vice-président en planification stratégique et en communications de la compagnie en recherches pharmaceutiques. Il travaille ensuite pour Ward Health Strategies, firme de consultant basée à Toronto et Washington D.C.[8]. Depuis, il offre des séances d'informations pour les législateurs via la Pharmaceutical Research and Manufacturers of America[9].
↑« Past Meetings », Patient Advocacy Leaders Summit (consulté le )
↑Michael Hooper, « Drugs' safety debated, Bill would make importing from Canada a crime », Topeka Capital-Journal, (lire en ligne [archive du ], consulté le )