Il réalise un nombre conséquent d'édifices religieux, de fontaines-lavoirs et de bâtiments publics.
Il est accidentellement victime d'un incendie le 1er mars 1882 qui a lieu dans l'hôtel de préfecture de Vesoul[3],[4]. Il meurt peu de temps après le même jour chez lui au 12 rue du Collège (actuelle rue Salengro)[5].
Il est inhumé avec son épouse Claude Dodelier née Huard (1826-1900) et leur fils Georges Dodelier (1858-1937) dans l'ancien cimetière de Vesoul.
Il a également eu un autre fils, militaire et artiste : Henri Dodelier.
Jules Reboul de Neyrol, « Notice biographique de Charles Dodelier », Bulletin de la Société d'agriculture, lettres, sciences et arts du département de la Haute-Saône, vol. 3, no 11, , p. 35-44 (lire en ligne).