Il prit une part active à la Commune de Paris, ce qui lui valut d'être condamné le à la déportation simple, à l'île des Pins en Nouvelle-Calédonie. Embarqué sur le 10e convoi, assuré par le navire La Virginie[3], au départ de Brest le , il arrive à Nouméa le . Sa peine étant commuée en 10 ans de bannissement en 1876, Capellaro est rapatrié par le navire Le Navarin[4], qui vient d'effectuer le 17e convoi de déportés. Il quitte Nouméa le , et arrive à Brest le . Il prend alors le chemin de la Belgique. Sa peine de bannissement lui étant remise en 1879, il revient en France et reprend son activité de sculpteur.
Marié, il est père de trois enfants, dont le sculpteur Paul-Gabriel Capellaro (1862-1956).