Centre de recherche en anthropologie sociale et culturelle
Le Centre de recherche en anthropologie sociale et culturelle, plus connu sous l'acronyme CRASC, est une institution nationale de recherche algérienne, créée en 1992 par décret N°92-215 modifié et complété le [2]. Inscrit dans le système national de recherche, il est passé du statut de Centre de Recherche et de Développement (CRD) (1992) à celui d’Etablissement Public à caractère Scientifique et Technologique (EPST en 2002 révisé en 2008). Il est placé sous la tutelle administrative de la Direction Générale de la Recherche Scientifique et du Développement Technologique et du Ministère de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique. Son siège se trouve à Oran. Il est dirigé actuellement par Ammar Manaâ, professeur et sociologue. Le CRASC est le fruit d'une rencontre entre une activité de recherche menée depuis 1985 dans le cadre d'une unité de recherche (URASC) et la reconnaissance de l'importance des sciences humaines dans la production des connaissances relative à la société algérienne[3]. Le potentiel de chercheurs en 2019 était de 166, dont 88 permanents. Le personnel de soutien était de 122 cadres et techniciens. Les missions principales du centre sont :
Le CRASC édite une revue scientifique périodique Insanyat[4], ainsi que la Revue africaine des livres Africa Revue of Books[5] En dehors de son siège à Oran, le Centre s’est doté de quatre unités de recherche : l’Unité de recherche sur La Culture, la Communication, les Langues, la Littérature et les Arts (UCCLLA), l’Unité de Recherche sur la Traduction et la Terminologie (URTT) domiciliées à Oran, l’Unité de Recherche sur les Systèmes de Dénomination en Algérie (RASYD), domiciliée à Alger, et l’Unité de Recherche sur les Territoires Emergents et Sociétés (TES), domiciliée à Constantine. Notes et références
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