Camille Laverdière est professeur retraité du département de géographie de l'Université de Montréal[4]. Il était également directeur de la Revue géographie de Montréal devenue ensuite Géographie physique, puis Quarternaire[3],[5].
Passionné de géographie, de géologie, de géodésie, de cartographie, de topographie et de toponymie, Laverdière fait paraitre plusieurs recueils de poésie dont Québec nord/américain, (Éditions du Nouveau-Québec, 1971), Glaciel (Fides, 1974), De pierre des champs (Fides, 1976), Jamésie (Éditions du Noroît, 1981), Ce cri laurentique (Éditions du Noroît, 1983) ainsi que Ce froid longuement descendu (Écrits des Forges, 1995)[5],[6],[7],[8].
Il publie également deux récits, soit iAlbert Peter Low : le découvreur du Nouveau-Québec (XYZ, 2003) ainsi que Le sieur de Roberval, Jean-François de LaRocque (Éditions JCL, 2005)[9],[10].
Il est l'un des fondateurs de l'Association professionnelle des géographes du Québec, de l'Association québécoise pour l'étude du Quarternaire ainsi que de l'Association québécoise de spécialistes en sciences du sol[3],[5].
Laverdière était également secrétaire de l'Association des professeurs de français du Québec ainsi que membre de l'Association canadienne-française pour l'avancement des sciences[5].
Sa collection de diapositives est cédée à la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal[5].
↑« Biographies », Lurelu : la seule revue québécoise exclusivement consacrée à la littérature pour la jeunesse, vol. 24, no 2, , p. 58–59 (ISSN0705-6567 et 1923-2330, lire en ligne, consulté le )