Ouvert en 1724[2], ce cabaret se trouve près de ce qui était alors la barrière d'Antin[3].
Toutes sortes de populations fréquentent ce cabaret. En particulier, le brigandCartouche y a ses habitudes, un puits qui recoupe un souterrain lui permettant de s'enfuir rapidement[4].
En 1772, Jean Ramponneau qui détenait déjà le Cabaret du Tambour Royal dans le quartier du Temple, rachète le Cabaret de la Grande Pinte. Il y applique la même politique de prix bas en vendant la pinte de vin blanc 3,5 sols au lieu de 4 ou 4,5 ailleurs[5],[3].