Des spécimens ont été récoltés en 2015 par Vincent Droissart dans le parc national de Campo-Ma'an, aux environs des villages d'Ebianemeyong et Nyabissan, sur la piste entre la route et le campement, entre 400 et 550 m d'altitude[4].
Utilisation
Les feuilles macérées dans du jus de canne à sucre seraient utilisées au Gabon pour soigner des maladies mentales (« folie »[5]).
↑Jean-Michel Onana, Synopsis des espèces végétales vasculaires endémiques et rares du Cameroun : check-liste pour la gestion durable et la conservation de la biodiversité, Yaoundé, Ministère de la Recherche scientifique et de l'Innovation, coll. « Flore du Cameroun » (no 40), , p. 62
↑L.J. Van der Veen et S. Bodinga-bwa-Bodinga, Gedandedi sa gviya : dictionnaire Geviya-Français, Peeters, Leuven, Paris, 2002, p. 560 (ISBN90-429-1105-0)
Bibliographie
(en) Dominique Champluvier and Iain Darbyshire, « A revision of the genera Brachystephanus and Oreacanthus (Acanthaceae) in tropical Africa », in Systematics and Geography of Plants, vol. 79, no 2, 2009, p. 115-192
Jean-Michel Onana, Synopsis des espèces végétales vasculaires endémiques et rares du Cameroun : check-liste pour la gestion durable et la conservation de la biodiversité, Yaoundé, Ministère de la Recherche scientifique et de l'Innovation, coll. « Flore du Cameroun » (no 40), , p. 62