L'espèce est assez répandue au mont Cameroun, plus rare au mont Manengouba, au mont Oku, aux monts Rumpi. Elle a été observée également sur l'île de Bioko, en Guinée équatoriale, mais toutes ces collectes sont antérieures aux années 1980. Elle semble avoir perdu 30 % de son habitat en quelque 30 ans, peut-être en l'absence de floraisons en masse pendant plusieurs saisons, mais cette estimation n'a pas été démentie par des études plus récentes[2].
↑ ab et c(en) Jean-Michel Onana et Martin Cheek, « Brachystephanus giganteus », in Red Data Book of the Flowering Plants of Cameroon: IUCN Global Assessments, Royal Botanic Gardens, Kew, 2011, p. 69 (ISBN9781842464298)
↑Jean-Michel Onana, Synopsis des espèces végétales vasculaires endémiques et rares du Cameroun : check-liste pour la gestion durable et la conservation de la biodiversité, Yaoundé, Ministère de la Recherche scientifique et de l'Innovation, coll. « Flore du Cameroun » (no 40), , p. 61
↑(en) Dominique Champluvier and Iain Darbyshire, « A revision of the genera Brachystephanus and Oreacanthus (Acanthaceae) in tropical Africa », in Systematics and Geography of Plants, vol. 79, no 2, 2009, p. 115-192, [lire en ligne]
Bibliographie
(en) Dominique Champluvier and Iain Darbyshire, « A revision of the genera Brachystephanus and Oreacanthus (Acanthaceae) in tropical Africa », in Systematics and Geography of Plants, vol. 79, no 2, 2009, p. 115-192, [lire en ligne]
Jean-Michel Onana, Synopsis des espèces végétales vasculaires endémiques et rares du Cameroun : check-liste pour la gestion durable et la conservation de la biodiversité, Yaoundé, Ministère de la Recherche scientifique et de l'Innovation, coll. « Flore du Cameroun » (no 40), , p. 61
(en) Jean-Michel Onana et Martin Cheek, « Brachystephanus giganteus », in Red Data Book of the Flowering Plants of Cameroon: IUCN Global Assessments, Royal Botanic Gardens, Kew, 2011, p. 69 (ISBN9781842464298)