Boy CultureBoy Culture est un film américain de Q. Allan Brocka, sorti en 2006. Boy Culture
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution. SynopsisLe narrateur du film, X, présente son histoire comme une confession des péchés capitaux qu'il a commis en quelques jours. Prostitué de luxe à Seattle, X limite sa clientèle à douze hommes. Chez lui, pour dissimuler sa source principale de revenus au fisc, il accepte deux colocataires : Andrew (son cadet d'un an) et Joey (tout juste 18 ans), avec lesquels il forme un semblant de famille. Attiré par les deux, il se refuse à évoquer l'idée d'un rapprochement charnel ou amoureux avec l'un ou l'autre par la double conviction qu'il ne peut avoir une relation sexuelle que contre de l'argent et qu'il doit tomber amoureux de l'homme de sa vie. Dans l'attente d'une réaction de X, le trio est déjà un peu tendu lorsque X est contraint par un décès à se trouver un douzième client en la personne du septuagénaire Gregory. Celui-ci impose une condition à leur relation tarifée : X le baisera quand le prostitué désirera son client autant que Gregory désire X. Voilà X échangeant des confidences avec Gregory sur leur vie respective d'homosexuel. Le vieil homme lui fait découvrir comment il a connu Renato avec qui il a vécu pendant cinquante ans. Par le désir de voir comment pourrait commencer une relation amoureuse avec Andrew, X accepte de l'accompagner à Portland au mariage de son ancienne fiancée Candice (Andrew sortait avec elle pour être proche de son frère). Andrew compte également annoncer qu'il est homosexuel à ses parents et leur présenter son petit ami. Si l'accueil dans la famille d'Andrew est plus que positif (tout le monde savait déjà), l'entêtement de X à ne vouloir se risquer dans cette relation et les retrouvailles avec le frère de Candice, provoquent la crise finale que Gregory, par un de ses anciens mensonges et une de ses interventions, va aider à résoudre[1],[2]. Fiche technique
Distribution
DistinctionsLe film est présenté à plusieurs festivals dès l'année de sa sortie.
CommentairesLe slogan du film est « Sex pays. Love costs » (Le sexe rapporte. L'amour coûte). La narration (avec parfois mise en scène par X : ajout d'une pluie battante pour le rendre plus pitoyable) et la dernière scène montre que le film est le livre que X est en train de taper sur son ordinateur. Notes et références
Voir aussiLiens externes
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