Avec Armand Point, elle traduit Voelund, le forgeron, un drame en 4 actes d'Holger Drachmann en 1900. La même année, elle obtient une mention honorable à l'Exposition universelle à Paris.
Elle participe à l'Internationale Kunstausstellung de Dresde en 1901, ainsi qu'au Salon d'automne en 1904 et 1905.
Gabriel Boissy« Elle possède un métier sévère- pas assez féminin, mais elle manque d'imagination. Il faut la louer beaucoup pour son Page qui veut ignorer les contradictions plastiques entre l'Allemagne et l'Italie, la louer encore pour ses portraits, et moins pour ses Intérieurs. Il lui serait profitable de serrer son exécution et son dessin dans l'objet d'art par crainte de la dinanderie, et , dans sa faune de ne pas sacrifier le rythme à la fantaisie. Son Coffret est une erreur parce que sur une faune moyen ageuse, courent en motifs d'ornements les plus bizarres, ménageries, ils sont en desharmonie avec l'élévation géométrale. Mademoiselle Arnesen oublie que le contrepoint est plus dangereux que la composition originale, ainsi son Miroir, et ses Boucles d'oreilles, personnels et sobres sont parmi ses meilleurs essais[2]. »
Notes et références
↑Roger Marx, La chronologie des arts et de la curiosité, n°21, 21 mai 1904.
↑Gabriel Boissy, Le Thyrse, t.V, juin 1903-mai 1904.