Titulaire d'une maîtrise en études littéraires de l’Université du Québec à Montréal, Benoit Jutras est critique littéraire pour l'hebdomadaire Voir de 2004 à 2007. Il enseigne la littérature au Collège de Rosemont depuis 2007[1].
En poésie, Benoit Jutras fait paraître plusieurs recueils aux éditions Les Herbes rouges dont Nous serons sans voix (2002), L'étang noir (2005), L'année de la mule (2007), Verchiel (2011), Outrenuit (2014) ainsi que Golgotha (2018)[2],[3],[4],[5],[6],[7].
De 1998 à 2001, il participe à la fondation et à l'orgaisation des soirées poétiques Nuits Urbaines. En 2002, il co-organise le premier colloque interuniversitaire des jeunes chercheurs en création[1].
↑Hugues Corriveau, « Têtu comme une mule : Le retour de Benoit Jutras et de Marie Bélisle est un vrai plaisir », Le Devoir, , p. F8.
↑Claude Beausoleil, « L'étang noir », La Presse, , p. ARTS SPECTACLES14.
↑Hugues Corriveau, « Poésie - Benoit Jutras exalté : La nuit porte les poètes à une forme de délire aux images tortueuses », Le Devoir, , p. F2.
↑Catherine Lalonde, « "Golgotha": les voix de tête du théâtre de Benoit Jutras », Le Devoir, , p. D25.
↑Mario Cloutier, « Benoit Jutras : l'énigme des aveux », La Presse,
↑Rachel Leclerc, « Benoit Jutras, Suzanne Jacob, Normand de Bellefeuille », Lettres québécoises : la revue de l’actualité littéraire, no 144, , p. 40–41 (ISSN0382-084X et 1923-239X, lire en ligne, consulté le )
↑ a et bClaude Beausoleil, « Le calvaire d'une voix », La Presse, , p. B9.
↑« Prix et distinctions », Lettres québécoises : la revue de l’actualité littéraire, no 111, , p. 61–62 (ISSN0382-084X et 1923-239X, lire en ligne, consulté le )
↑« JUTRAS, Benoit, Nous serons sans voix, Éditions Les Herbes rouges, Montréal, 2002. », Brèves littéraires, no 64, , p. 188–188 (ISSN1194-8159 et 1920-812X, lire en ligne, consulté le )