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La base est capturée par la Coalition militaire en Irak conduite par les États-Unis lors de la Guerre d'Irak en 2003, pour ensuite servir de quartier général de la 12e division de l'armée irakienne. En 2014, la base est saisie par les Peshmerga, des combattants kurdes, avant d'être reprise par les forces spéciales irakiennes en 2017 lors de la bataille de Kirkouk.
Pendant la présence américaine en Irak, les centres de formation de la base servent de centres de commandement pour les armées américaine et irakienne. Cela permet de coordonner les opérations entre les soldats américains et les soldats de plusieurs unités des forces de sécurité irakiennes, notamment celles chargées de la sécurité et de la stabilité au Kurdistan.
En juillet 2011, l'armée américaine quitte la base pour en laisser le contrôle à l'armée irakienne.
Depuis 2014
En 2014, l’État islamique en Irak et au Levant (EIIL) lance une offensive au nord de l'Irak, et s'empare de plusieurs zones stratégiques du pays. Les 12 000 soldats de la 12e division de l'armée irakienne quittent la base K-1, qui passe sous le contrôle de l'EIIL, avant d'être reprise par les Peshmerga kurdes la même année[1]. Lors de cette période, la base est régulièrement pillée par l'EIIL et par certains locaux[2].
La base abrite depuis du personnel militaire provenant de nombreux pays participant à la guerre de coalition contre l'EIIL. S'y trouvent notamment des soldats italiens, français et norvégiens et américains. Ces derniers, le personnel de l'Opération Inherent Resolve, forment militairement des soldats Peshmerga.
Le 7 mai 2017, plusieurs attentats-suicides de l'EIIL visant la base font deux morts et six blessés dans la base.
Le 16 octobre 2017, la base est reprise aux Peshmerga par les forces armées irakiennes lors de la bataille de Kirkouk[3].
Le 27 décembre 2019, un missile s'abat sur la base, tuant un civil américain et blessant plusieurs militaires américains et irakiens. Le Hezbollah est suspecté d'avoir conduit l'attaque, menant à une réponse des États-Unis en Irak et en Syrie tuant 25 miliciens du Hezbollah. L'attaque se produit pendant la crise américano-iranienne de 2019-2020[4].