Tous les jeudis et samedis, de 8 h à 14 h, prend place le marché de Breteuil, en plein air. On y trouve des commerçants-artisans, petits producteurs de produits frais français, italiens, libanais, etc.
No 26 : emplacement du couvent des Carmélites, décrit par Huysmans dans De tout (Les Carmels de Paris)[2].
No 52 : Ferdinand Foch y a résidé en ; une plaque lui rend hommage.
No 55 : ancien central téléphonique « Ségur », édifié en 1900 par l'architecte Jacques Debat-Ponsan. D'autres sources mentionnent Jean Boussard. Il s'agit d'un immeuble de trois étages en pierre de taille et en briques jaunes, dont la façade est ornée de bas-reliefs (lettres « RF » pour République française, femmes sculptées au milieu des voussures et têtes de lion sous les linteaux des fenêtres du premier étage). Initialement, le bâtiment ne faisait que deux étages et était surmonté d'un toit en forme de coque de bateau renversé ; il a été par la suite surélevé de trois étages supplémentaires dans un style plus sobre, avec un toit-terrasse. Il abritait les « demoiselles du téléphone »[3].