Arrondissement de SancerreLe district de Sancerre est un ancien arrondissement administratif français du Cher, créée le . L' Arrondissement de Sancerre a lui été créée le et supprimé le [1]. Le 21 frimaire an VI (), Lagrave est commandant de la garde nationale du district de Sancerre[2]. Malfuson est procureur-syndic du district de Sancerre (5 brumaire an VI)[3]. Sancerre devient le chef-lieu d’arrondissement en l’An VIII (1800) de la première République. Cette même année, M. Remy Albert est nommé Président du Tribunal d'Arrondissement. Administration et PolitiqueSous-Préfet de SancerreListe des sous-préfets successifs
DémographieEn 1825, l'Arrondissement de Sancerre compte 64 463[6]. et 67 228 habitants en 1830[7]. En 1833, l'Arrondissement de Sancerre est composé de 8 cantons, 76 communes pour un total de 66 790 habitants[8]. Perrin est sous-lieutenant de Gendarmerie en 1828 puis lieutenant, Compagnie du Cher, de 1830 à 1835[9]. En 1838, l'Arrondissement de Sancerre compte 70 907 habitants[10]. En 1846, l'Arrondissement de Sancerre compte 71 275 habitants[10]. Léonce Melchior (4 mai 1805 à Paris - 25 juin 1877), marquis de Vogüé, conseiller général du Cher en 1839, échoua à la députation dans l' arrondissement de Sancerre en 1842[11]. En 1926, la sous-préfecture et les autres services administratifs en dépendant sont transférés à Bourges et Vierzon. L' arrondissement de Sancerre cesse d'exister. À la suite de cette décision administrative, Sancerre voit alors son élite intellectuelle fuir. Le Chef-lieu d'arrondissement, La Chapelle d'Angillon, Henrichemont, Léré et Vailly sont rattachés à l'arrondissement de Bourges. Argent-sur-Sauldre et Aubigny-sur-Nère sont rattachés à l'arrondissement de Vierzon. Sancerre devient un canton. Chefs-lieux des justices de paix ou des cantons
Notes et références
|