En 1982, Anne Dandurand publie son premier roman, en collaboration avec sa sœur jumelle Claire Dé, La louve-garou (Éditions de la Pleine Lune, 1982)[3],[4],[5],[6]. Elle fait ensuite paraître trois romans : Un Cœur qui craque : journal imaginaire (VLB Éditeur, 1990), La marquise ensanglantée (XYZ, 1996) ainsi que Les porteuses d'ombre : histoires (Planète Rebelle, 1999)[1],[7],[8].
Comme nouvelliste, elle publie quatre titres, soit Voilà c'est moi : c'est rien j'angoisse : journal imaginaire (Triptyque, 1987), L'Assassin de l'intérieur ; Diables d'espoir (XYZ, 1988), Petites âmes sous ultimatum (XYZ, 1991) ainsi que La salle d'attente (XYZ, 1994) qui sera également adapté au théâtre[1],[9],[10].
1987 - Récipiendaire : Concours de nouvelles de la revue française N comme nouvelles (pour Un appartement tout confort)[11]
1990 - Récipiendaire : Grand Prix de la nouvelle pour la jeunesse, Salon du livre pour la jeunesse à Paris (pour La dernière journée du milk-shake)[12],[13]
↑Claire Dé, « Anne Dandurand — Écrire ou mourir », XYZ. La revue de la nouvelle, no 12, , p. 37–41 (ISSN0828-5608 et 1923-0907, lire en ligne, consulté le )
↑Jean Barbe, « Anne Dandurand : la chair des mots », Lettres québécoises : la revue de l’actualité littéraire, no 60, , p. 11–13 (ISSN0382-084X et 1923-239X, lire en ligne, consulté le )
↑Lucie Côté, « Les craquements du cœur », La Presse, , p. C5.
↑Jean Basile, « Dandurand, Dé, Yance, Bosco La marée noire des nouvelles », Le Devoir, , p. D3.
↑Sonia Sarfati, « Double peau », La Presse •, , p. D2.